Vous pensez pas ?

Une journée, y fait 24. Pis le lendemain, y tempête d’la’neige. Pis le surlendemain, c’est la débâcle !

OK. J’exagère un peu. Mais, à peine.

C’est ça avril. On sait pu quoi faire. Pas vrai. Quoi, on le sait. C’est le quand pis le comment qu’il y’a un peu de finetuning à faire. Ou bien on fait face à des hésitations.

Comment s’habiller ? Quand serrer nos pelles ? Quand changer nos pneus ? Une tuque ou pas ? On sert les skis ? On sort les vélos ? Tu sais, genre, toutes ces questions existentielles.

Et en plus, quand ça tombe sur une année que le CH réussit à se classer pour les ‘détails’.

Ah ben là.

Une victoire, ça sent la coupe.

Pis une défaite, la soupe.

24 ans de soupe réconfortante. C’est long. Très long. Imaginez, plus long que le départ des Nordiques.

Faut le faire.

24 coupes. Pis là depuis 24 ans, R-D-J-I-E-N-P-A-N-T-O-U-T-E. Faut crère qu’un slogan d’équipe pour aller avec les séries, ça remplacera jamais un scorer naturel.

Tellement dans un élan de séries de la coupe Stanley, qu’on a même entendu un journaliste (dont je tairai volontairement le nom) gaspiller une question et demander à Sean Spicer, directeur des communications du gouvernement américain, la préférence de club de hockey (entre New-York et Washington) de Donald Trump pour les séries de la coupe Stanley lors d’un point de presse au sujet du lancement de la mère des bombes non-nucléaires sur l’Afghanistan. Ah ben là. Bravo.

Anyway. C’est tout ce que j’ai à dire à ce sujet.

Sur ce, voici mes photos préférées d’avril.

Enjoy,

StefB Kid KodaK